age limite pour souscrire une assurance vie

Entant que produit d’épargne, l’assurance-vie souscrite au Luxembourg permet de mieux planifier la transmission de son patrimoine aux bénéficiaires de notre choix. Si tant est que vous viviez toujours au Luxembourg au moment de votre décès, car en matière de transmission, c’est le droit du pays de résidence qui s’applique. Iln’y a pas d’âge limite pour souscrire un contrat d’assurance-emprunteur. Pour rappel, l’assurance emprunteur est un accessoire au contrat de crédit, elle est souscrite par l’emprunteur pour garantir le financement contre, généralement, les risques d’invalidité, de décès, d’incapacité.De ce fait, elle couvre à la fois le souscripteur, sa famille et l’établissement Cetteassurance est donc à distinguer du contrat temporaire décès qui conditionne l'application de la garantie à une date ou un âge (fixé entre 65 et 70 ans en général) avant lesquels le décès doit nécessairement survenir. Assurer la sécurité financière de ses proches quelle que soit la date de son décès peut constituer un objectif prioritaire pour qui souhaite Toutest alors prévu à l'avance: une sérénité pour vous et vos proches. A quel âge souscrire votre assurance ? Ce qui est fait n’est plus à faire. En dehors du cas concret cité plus haut, il n’y a pas d’âge limite ou idéal pour souscrire une convention obsèques ou assurance vie. La seule condition est d’être majeur. Telleest la raison pour laquelle ils souhaitent souscrire à une assurance obsèques, pour poursuivre leur vie en toute sérénité. Tous deux souhaitent une crémation, puis rejoindre le caveau familial qu’ils possèdent. D’après leurs calculs, ils estiment avoir besoin d’un budget de 4 000 € pour répondre à leurs dernières volontés. Site Rencontre Gratuit Nord Pas De Calais. Assurance vie Comparez les meilleures assurances vie du marché pour plus de rendement ! Adhésion conjointe Un principe simple Les deux époux adhèrent ensemble ; chacun ayant à la fois la qualité d'adhérent et d'assuré. Les deux conjoints sont désignés conjointement comme bénéficiaires du contrat. La souscription conjointe d’un contrat d’assurance vie avec dénouement au premier décès, présente l'avantage au décès d'un des deux conjoints, de provoquer le dénouement du contrat le survivant récupère alors le capital investi et les intérêts. Au décès de ce dernier, les bénéficiaires du contrat recevront les sommes placées en bénéficiant de la classique et dorée fiscalité de l’assurance vie. La solution pour les couples mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts Dans cette situation, si un couple alimente des contrats d’assurance vie souscrits en adhésion simple avec des ressources communes, les fonds placés sur ces contrats sont réputés être des biens communs donc des acquêts. Deux options possibles Le dénouement au premier décès de la souscription conjointe d’un contrat d’assurance vie présente l'avantage au décès d'un des deux conjoints, de provoquer le dénouement du contrat. Le premier décès entraîne le paiement du capital investi et des intérêts généralement au profit du conjoint survivant ou en cas de clause bénéficiaire démembrée, l’usufruit pour le conjoint, la nue-propriété pour les enfants. Au décès du survivant, les bénéficiaires du contrat recevront les sommes placées en bénéficiant de la fiscalité classique de l’assurance vie. Le dénouement au second décès. Le contrat se dénoue au second décès, l’assuré survivant récupérant, au premier décès, la totalité des droits liés au contrat droit de rachat, avance, désignation de bénéficiaire…. À savoir Les versements effectués après 70 ans sur un contrat d’assurances vie mais pas les intérêts acquis par ces versements sont soumis aux droits de succession. Donc, si le conjoint survivant avait moins de 70 ans lors des versements sur le contrat à adhésion conjointe, la fiscalité sera plus avantageuse pour ses bénéficiaires. Depuis 2007, le conjoint bénéficiait d'une exonération complète de droits de succession sur le contrat d’assurance vie L'avantage de la souscription conjointe résidait pour les bénéficiaires désignés au décès du second conjoint, dans le fait que la fiscalité applicable au dénouement du contrat par décès, est déterminée en fonction de l’âge de l’époux survivant lors de la souscription du contrat et lors de chaque éventuel versement supplémentaire. Et donc, si le conjoint survivant avait moins de 70 ans lors des versements sur la co-adhésion, la fiscalité était plus avantageuse pour ses bénéficiaires. Mais… Assurance vie Comparez les meilleures assurances vie du marché pour plus de rendement ! La fameuse réponse ministérielle Bacquet du 29 juin 2010 change la règle…! Celle-ci prévalait depuis, instaurant un système beaucoup plus pénalisant …la valeur de rachat des contrats d’assurance vie souscrits avec des fonds communs fait partie de l’actif de communauté soumis aux droits de succession dans les conditions de droit commun. Ce qui signifie que les fonds détenus sur le contrat d’assurance vie du conjoint survivant seront réintégrés pour moitié dans l’actif successoral. Avec 2 conséquences Les héritiers réservataires paient des droits de succession sur la moitié du contrat du conjoint survivant ; Le conjoint survivant doit partager avec les héritiers la propriété des fonds sur son propre contrat. Ce qui va avoir pour conséquence d'aggraver les droits de succession des héritiers ; le survivant se voyant, lui, privé de la moitié des fonds détenus sur son propre contrat même si le contrat n'est pas dénoué au décès du premier conjoint ; le partage s'entendant au sens fiscal du terme. Conjoint survivant et héritiers sont donc perdants. La souscription par adhésion conjointe, moyen de contourner cette disposition pour les couples mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts L'intérêt principal réside dans le fait que la totalité du capital présent sur un contrat souscrit conjointement est hors succession, même si l’origine des fonds est commune. L’intérêt principal de l'adhésion conjointe avec dénouement au second décès est de ne pas supprimer l’antériorité fiscale des fonds sur le contrat. La fiscalité applicable au dénouement par décès du contrat en co-adhésion étant déterminée en fonction de l’âge du conjoint survivant lors des versements. Pour mémoire les versements effectués après 70 ans sur un contrat d’assurances vie mais pas les intérêts acquis par ces versements sont soumis aux droits de succession. Donc, si le conjoint survivant avait moins de 70 ans lors des versements sur le contrat à adhésion conjointe, la fiscalité sera plus avantageuse pour ses bénéficiaires. Le choix de la co-adhésion avec dénouement au second décès peut notamment s'avérer très avantageux pour les couples présentant une grande différence d’âge Attention Le régime matrimonial de la communauté universelle doit comporter une clause prévoyant dans ce cas l’attribution intégrale des biens au conjoint survivant. Sinon, le fisc risquerait de requalifier le capital-décès en donation déguisée et taxer les bénéficiaires autres que le survivant. À noter Ce type de contrat est obligatoirement dénoué en cas de divorce. Jusque-là, l’usage de l’assurance vie en adhésion conjointe était incontournable pour les couples mariés sous les divers régimes de communauté qui souhaitaient éviter la réintégration de la moitié du capital-décès dans la succession. Assurance vie Comparez les meilleures assurances vie du marché pour plus de rendement ! Récemment, la réponse ministérielle CIOT est venue tout changer Publiée au du 23 février 2016, elle précise que Lors du décès du premier époux, il est admis, pour les successions ouvertes à compter du 1er janvier 2016, qu’au plan fiscal la valeur de rachat d’un contrat d’assurance vie souscrit avec des fonds communs et non dénoué à la date du décès de l’époux bénéficiaire de ce contrat, ne soit pas intégrée à l’actif de la communauté conjugale lors de sa liquidation, et ne constitue donc pas un élément de l’actif successoral pour le calcul des droits de mutation dus par les héritiers de l’époux prédécédé ». Cette réponse constitue bien une abrogation de la réponse Bacquet, puisqu'elle instaure une exonération de droits de succession et non pas un report des droits au décès du second époux. La réponse ministérielle CIOT ouvre des horizons étendus à ceux qui sauront en jouer pour bénéficier d’une exonération de droits de succession. En effet, le contrat non dénoué, souscrit par le survivant des époux, bénéficie d’une exonération pour moitié, sans limite de montant, ni d’âge de versement. Aujourd'hui, le contrat du conjoint survivant bénéficie réellement d’un régime fiscal encore plus favorable que le contrat dénoué par le décès de son souscripteur. Ce qui rend donc la souscription conjointe nettement moins favorable fiscalement et donc pour le moment inutile en attendant peut-être une nouvelle réforme moins favorable aux épargnants et à leurs héritiers. Assurance vie Comparez les meilleures assurances vie du marché pour plus de rendement ! On estime que 50 à 60 % des adultes français n’ont pas de testament écrit, mais que 81 % des personnes de plus de 70 ans ont un plan de succession. Penser aux dépenses et aux soins de fin de vie est un sujet désagréable, mais le faire maintenant réduira considérablement le stress et les dépenses futures pour votre famille. Les plans funéraires n’ont pas de limite d’âge supérieure dans la plupart des cas, mais certaines entreprises de pompes funèbres peuvent ne pas proposer de plans à des personnes très jeunes si elles sont censées vivre longtemps. Les polices d’assurance obsèques n’ont pas non plus de limite d’âge, mais votre état de santé peut influer sur le montant de la prime. Qu’est-ce que l’assurance obsèques L’assurance obsèques est pratiquement la même qu’une police d’assurance vie entière, à l’exception du fait qu’elle est d’un montant plus faible, qu’elle ne nécessite, généralement, pas d’examen médical et qu’elle comporte un capital décès plus faible mais dédié que les bénéficiaires peuvent utiliser pour tout service ou dépense supplémentaire. Elle est vendue comme une nécessité par de nombreuses compagnies d’assurance et est, souvent, présentée comme un moyen d’alléger la charge financière de ceux qui doivent organiser vos funérailles. A quel âge on bénéficie d’une assurance obsèques ? L’assurance obsèques est un sujet très différent et doit être envisagée sous un autre angle. Les différents types d’assurance obsèques ne sont pas tant limités par votre âge que par votre niveau de risque pour le courtier d’assurance. Bien que le prix de vos primes mensuelles augmente avec l’âge, votre santé est le véritable facteur. Comme la plupart des polices d’assurance doivent être souscrites, c’est-à-dire qu’une personne réelle examine votre dossier et évalue les risques, il se peut que l’on vous demande de passer un examen médical très approfondi pour être éligible. Cela signifie logiquement que certaines polices seront limitées par l’âge. Cependant, certaines polices d’assurance vous permettent de payer plus par mois, environ 20 à 33 %, pour une police qui ne nécessite pas d’examen médical. Avantages et inconvénients de l’assurance obsèques Avantages moins de risques de faillite, possibilité d’obtenir des frais d’obsèques moins élevés, avenants relatifs au coût de la vie, les dividendes peuvent suivre le rythme de l’inflation, ils sont transférables – si vous déménagez, le paiement est versé aux bénéficiaire à une valeur en espèces, possibilité de comparer les prix entre les salons funéraires Inconvénients certains petits courtiers peuvent être moins fiables au fil du temps, certaines polices peuvent expirer avant votre décès, le paiement des indemnités peut prendre du temps, les demandes d’indemnisation peuvent être refusées dans certaines circonstances. La réglementation ne fixe pas d’âge limite pour souscrire un contrat d’assurance-vie. Chaque compagnie d’assurance fixe donc ses conditions, et il faut savoir que les assureurs n’aiment pas les souscriptions tardives après 80 ans. Ainsi, il est possible de souscrire une assurance-vie à tout moment de sa vie mais gare aux augmentations de primes et aux restrictions qui se multiplient au fur et à mesure qu’on avance en âge. L’assurance 50+, un produit ciblé Il existe un produit spécialisé, créé expressément pour répondre aux besoins des personnes qui passent la barre des 50 ans il s’agit de l’assurance vie 50 ans et plus qui peut être proposée avec examen médical ou simple questionnaire. Cette assurance peut permettre d’aider les proches à assumer Les frais funéraires Les remboursements de comptes et prêts Les dépenses liées à un traitement médical Le solde de l’hypothèque Mais cette prime d’assurance peut également financer les études des petits-enfants ou être laissée en héritage. Les clients très âgés ou en mauvaise santé qui souhaitent souscrire une police d’assurance vie se tournent plutôt vers le contrat sans examen médical proposé par une douzaine de compagnies. Et la plupart du temps, deux options leur sont proposées une assurance-vie à émission simplifiée dont la période de paiement projetée, les indemnisations ou la possibilité de signer un avenant comme une assurance maladie grave varient en fonction de l’âge de souscription. une assurance-vie à émission garantie si ce contrat ne prévoit pas de délai de carence, il est assorti en contrepartie de fortes primes qui représentent généralement le double de celles d’un contrat à émission simplifiée. Attention aux restrictions De nombreux contrats d’assurance sont conclus sans examen médical, par des personnes ayant déjà essuyé un refus ou pensant être refoulées en essayant d’obtenir une assurance vie classique. Or, on constate concernant ce type de contrats Que les primes sont généralement bien plus élevées que celles des polices contractées avec examen médical Qu’il existe bien souvent un délai de carence, c’est-à-dire une période durant laquelle les bénéficiaires ne peuvent pas bénéficier de la garantie. Ainsi, si l’assuré décède dans les deux ou trois ans qui suivent la souscription du contrat, le montant de l’assurance n’est pas versé aux bénéficiaires, l’assureur se contentant de rembourser les primes versées. Qu’une partie des compagnies exclut également certaines causes, comme par exemple la maladie d’Alzheimer, le cancer, les maladies terminales ou encore les AVC et les crises cardiaques. Vous êtes pris, mais à quel prix En toute logique, plus on est âgé au moment de la souscription du contrat, plus les primes sont élevées. Mais ce n’est pas tout certaines compagnies acceptent les assurés de tous âges et en contrepartie ne garantissent pas le montant des primes. C’est ainsi que des assurés voient leurs primes s’envoler, et même doubler d’une année sur l’autre. Or ils ne veulent ou ne peuvent pas payer ces nouveaux montants mais s’ils ne paient pas, cela leur revient tout simplement à avoir cotisé pendant des années pour rien. Le Régime garanti d’assurance-vie Pour les résidents canadiens âgés de 40 à 75 ans, il existe un Régime garanti d’assurance-vie qui est une formule intéressante caractérisée par Une prime fixe à partir de 20 $/mois Un délai de carence de deux ans, avec un remboursement des primes si le décès de l’assuré intervient dans les deux premières années Des prestations qui ne baissent pas et peuvent atteindre jusqu’à 50 000 $ en prestation de base et 250 000 $ en prestation de décès accidentel Une acceptation garantie, quel que soit son état de santé Pas d’impôts sur les sommes touchées par les bénéficiaires Une prestation en vigueur jusqu’à 95 ans tant que la prime est payée Même si en théorie, il n’existe pas d’âge limite pour souscrire un contrat d’assurance-vie, dans la pratique, plus on prend de l’âge et plus les choses se compliquent les primes grimpent, et les restrictions se multiplient. Aussi est-il sage de souscrire une assurance le plus tôt possible afin de bénéficier de conditions qui restent avantageuses. Commenter Make sure you fill in all mandatory fields. Required fields are marked * You must be logged in to post a comment Publié le 01/03/2022 Avec l’allongement de l’espérance de vie, on hérite de plus en plus vieux en France. Dès lors, l’assurance-vie s’avère être un moyen adapté pour transmettre un capital à ses petits-enfants en optimisant les frais de succession. Par ailleurs, cette solution permet de garder un œil sur l’utilisation de l’argent. Assurance-vie anticiper votre succession On hérite de plus en plus tard en France, bien au-delà de 50 ans selon les dernières enquêtes de l’Insee sur la transmission de patrimoine entre générations. Un âge où la plupart des Français se sont déjà constitué leur propre patrimoine et se trouvent eux-mêmes dans une démarche d’anticipation de leur transmission au profit de leurs enfants. Dès lors, les grands-parents souhaitent parfois sauter une génération dans la transmission de leur patrimoine et privilégier leurs petits-enfants. Dans ce cas, il est possible d’éviter une double application des droits de mutation une première fois lors de la succession et une seconde fois lors d’une éventuelle donation. Pour cela il suffit de les désigner dans la clause bénéficiaire du contrat d’assurance-vie des grands-parents. Dès lors, à leur décès, ils percevront le capital épargné. Ce dernier sera transmis hors succession, car il n’entrera pas dans le calcul de la réserve héréditaire la part d’héritage réservée par la loi aux enfants du défunt. Il échappera aussi aux droits de succession, pour la part correspondant aux primes versées sur le contrat avant 70 ans le petit-enfant bénéficiaire récupérera euros en franchise d’impôt, et l’excédent éventuel sera taxé au taux forfaitaire de 20 % jusqu’à euros de capital imposable et à 31,25 % au-delà de euros. À noter Les primes versées au contrat d’assurance-vie ne doivent pas être considérées comme manifestement exagérées par l'administration fiscale au regard de la situation financière des grands-parents. Assurance-vie intergénérationnelle une fiscalité doublement avantageuse Banquiers et assureurs proposent un produit d’épargne spécifique aux grands-parents souhaitant transmettre un capital à un petit-enfant mineur tout en retardant la date à partir de laquelle il pourra en disposer l’assurance-vie intergénérationnelle. Elle consiste à combiner donation et assurance-vie. Le principe est simple les grands-parents font un don manuel d’argent à leur petit-enfant, assorti d’un pacte adjoint lui imposant d’investir les fonds reçus dans un contrat d’assurance-vie. Ce pacte fixe également la date à partir de laquelle il pourra utiliser les sommes épargnées. Cette solution permet de garder le contrôle sur les capitaux donnés, car le pacte adjoint peut contenir une clause d’inaliénabilité rédiger un pacte adjointEn cas de don d’argent assorti d’un pacte adjoint, imposant à votre petit-enfant de souscrire un contrat d’assurance-vie, le pacte peut prévoir l’indisponibilité de l’épargne avant l’atteinte d’un certain âge par le bénéficiaire 25 ans au plus. Vous pouvez aussi prévoir des clauses organisant la gestion ou l’utilisation des fonds donnés. Par exemple, vous avez le choix de réserver la gestion exclusive du contrat d’assurance-vie jusqu’à la majorité de votre petit-enfant, privant ainsi ses parents du pouvoir de l’administrer et d’y prélever de l’argent. Vous pouvez également limiter l’utilisation de l’argent placé à un usage précis, comme le financement des études supérieures de votre petit-enfant ou l’achat de son premier logement. Enfin, vous pouvez insérer une clause de retour conventionnel elle vous permettra de récupérer l’argent donné sans frais ni impôt si votre petit-enfant disparaît intergénérationnelle est aussi très intéressante au niveau fiscal. D’une part, le don consenti au petit-enfant échappe aux droits de donation si son montant ne dépasse pas euros, et cette exonération est renouvelable tous les 15 ans. D’autre part, si les grands-parents s’y prennent suffisamment tôt, leur petit-enfant bénéficiera de la fiscalité applicable aux assurances-vie de plus de 8 ans lorsqu’il pourra puiser dans son contrat. Au terme convenu, il pourra procéder à des retraits ponctuels ou réguliers pour financer ses besoins. Les gains récupérés seront alors exonérés d’impôt pas de prélèvements sociaux à hauteur de euros par an le double s’il est marié ou pacsé et l’excédent éventuel sera taxé à seulement 7,5 %.À NE PAS MANQUERUne conférence en ligne gratuite sera organisée le jeudi 19 mai à Transférer et moderniser son contrat d’assurance-vieAntoine Toubas, conseiller patrimonial chez Investisseur Privé, vous présentera en détail les points suivants - Transférer son contrat d’assurance-vie grâce à la Loi Pacte- Le rôle du conseiller financier pour transférer son contrat d’assurance-vie- Faut-il fermer son contrat actuel et souscrire un nouveau contrat d’assurance-vie ?Cette conférence sera l’occasion de répondre en direct à vos m’inscris iciUne fois inscrit, un lien de connexion vous sera adressé par mail. CONTACTER UN CONSEILLER Si vous souhaitez des conseils personnalisés avant l’émission de la part de l’un de nos partenaires, complétez ce formulaire Lire aussi Confiez vos investissements à un expert patrimonial indépendant Les conseillers en gestion de patrimoine sont des experts indépendants. Ils proposent une stratégie d’investissement après avoir réalisé une analyse globale de la situation de leurs clients. Ainsi, ils tiennent compte de leurs objectifs, de leur hori ... Placements diversifier votre épargne Diversifier leurs placements permet souvent aux investisseurs d’optimiser leurs performances et de réduire les risques de pertes en capital. Pour obtenir des rendements supérieurs à l’inflation et ainsi maintenir le pouvoir d’achat de votre épargne, ... Fonds ISR investir en accord avec vos valeurs Protection de l’environnement, justice sociale, égalité hommes-femmes… Plus de 6 Français sur 10 1 souhaitent allier leurs valeurs personnelles avec leurs placements. 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Un produit d’épargne à long terme L’assurance vie est un produit d’épargne à long terme. Le contrat peut être multisupports, c’est-à-dire intégrer un fonds en euros qui assure la protection du capital investi et des unités de compte permettant de diversifier le capital investi. Ces unités de compte sont majoritairement des Organismes de Placement Collectif OPC, à savoir des Sicav et des Fonds communs de placement. Selon leur objectif de gestion, ils peuvent être investis sur les marchés actions, monétaires, obligataires, être diversifiés sur ces trois classes d’actifs, être sectoriels or, matières premières, valeurs technologiques…., centrés sur une zone géographique déterminée France, Etats-Unis, pays émergents…… Bref ! Le choix est généralement très large et il est donc recommandé de bien lire le Document d’Informations Clés DIC avant d’investir. Les banques et les compagnies d’assurances proposent des contrats intergénérationnels ». Mais dans les faits, tous les contrats d’assurance vie peuvent être souscrits au nom d’un mineur. Les précautions avant de souscrire un contrat d’assurance vie Comme pour tout produit d’épargne, quelques règles sont à observer avant de se lancer. Tout d’abord, le niveau des frais de souscription qui s’appliquent sur les versements, de gestion sur l’encours du contrat et d’arbitrage. Ensuite, il est conseillé de faire le point sur les supports d’investissement proposés. Il s’agit d’un placement à long terme, voire à très long terme si l’enfant est très jeune, car il ne pourra pas y toucher avant d’être majeur. Il est donc préférable d’avoir plusieurs options d’investissement pour offrir une bonne diversification. Par ailleurs, il faut veiller à la répartition des capitaux investis. Entre le fonds en euros sécurisé, mais dont le rendement est en baisse constante depuis 20 ans 1,1 % en moyenne en 2020 selon Good Value for Money, et des unités de compte, parfois à fort potentiel, mais affichant un risque de perte en capital, il faut savoir comment investir, et ne pas hésiter à demander conseil auprès d’un spécialiste. Enfin, il convient, et c’est la grande particularité de ces produits d’épargne ouverts au nom d’un enfant mineur, de poser quelques règles de vie et de gestion ». C’est dans ce cadre qu’il est souvent conseillé, notamment lorsque ce sont les grands-parents qui souhaitent réaliser une donation au profit de leurs petits-enfants, de rajouter au contrat un pacte adjoint ». Le pacte adjoint réalisé sous seing privé La donation avec pacte adjoint est une solution parfaite et très efficace pour les grands parents qui souhaitent réaliser une donation à leurs petits-enfants mineurs tout en gardant l’œil sur l’utilisation des fonds. Le pacte adjoint, réalisé sous seing privé, peut organiser l’administration des fonds issus de la donation. On peut également définir les conditions d’utilisation des fonds par le mineur en bloquant les retraits jusqu’à, au plus tard ses 25 ans, grâce à la clause d’inaliénabilité temporaire. Ceci peut permettre notamment de limiter les risques de dilapidation des fonds. Il est possible de réaliser simultanément l’ensemble des démarches liées à un don manuel document Cerfa 2735 et à la souscription d’un contrat d’assurance vie ouvert au nom du mineur. Pour rappel il est possible de donner la somme de 31 865 € tous les 15 ans par grand- parent et petit-enfant. Même si ce sont les grands-parents qui versent les fonds, ce sont les représentants légaux qui doivent ouvrir le contrat. Si l’enfant a moins de 12 ans, l’accord et la signature de ses deux parents sont nécessaires. Les contrats d’assurance vie à terme fixe » Autre solution possible pour les grands-parents souscrire un contrat à terme fixe. Dans ce cadre, c’est le grand-parent qui reste l’assuré du contrat et qui désigne comme bénéficiaire son ou ses petits-enfants. Il fixe la date à laquelle la transmission deviendra effective, par exemple aux 25 ans de l’enfant. Même si l’assuré décède avant, les sommes continueront à fructifier au sein du contrat. Au niveau successoral, l’assurance vie offre certains avantages en fonction de la date de versement des capitaux. Pour les sommes investies avant 70 ans, les capitaux transmis en dehors de la succession aux personnes désignées, à concurrence de 152 500 euros par bénéficiaire. Après 70 ans, un abattement à hauteur de 30 500 euros est accordé sur les sommes investies quel que soit le nombre de bénéficiaires, ainsi qu’une exonération de droits sur les intérêts accumulés. Les bénéficiaires en cas de décès sont donc imposables uniquement sur les sommes investies au delà de 30 500 euros.

age limite pour souscrire une assurance vie